Letra y música: Léo Ferré
Avec sa faux des quat' saisons
Et du crêpe dans son peignoir
Sur ses échasses de béton
Dans les faubourgs du désespoir
Elle meurt sa mort, la Mort
Elle meurt
Avec ses cordes pour la pluie
À encorder les poitrinaires
Ses poumons de cendre qui prient
Dans la soufflerie des mystères
Elle meurt sa mort, la Mort
Elle meurt
Sur la route des jours heureux
Dans les bielles et dans le courroux
En mettant du noir sur les yeux
Et du sang frais sur les cailloux
Elle meurt sa mort, la Mort
Elle meurt
L'hôpital meublé de ses gens
Dans les salles où dorment les chromes
Avec son fils et ses gants blancs
Dans l'anesthésique royaume
Elle meurt sa mort, la Mort
Elle meurt
Avec le végétal nourri
De son détestable négoce
Avec les rires et les cris
Qui croissent sur toutes ses fosses
On vit sa vie, on vit
On vit
y crespón en su albornoz
sobre sus zancos de hormigón
en los arrabales de la desesperación
Ella muere su muerte, la Muerte
muere
Con sus cuerdas para la lluvia
para encordar a los tísicos
sus pulmones de ceniza que rezan
en los fuelles de los misterios
Ella muere su muerte, la Muerte
muere
En la carretera de los días felices
en las bielas y en las cóleras
poniendo oscuridad en los ojos
y sangre fresca en los guijarros
Ella muere su muerte, la Muerte
muere
El hospital lleno de todas esas gentes
en las salas donde duermen los cromados
con su hijo y sus guantes blancos
en el anestésico reino
Ella muere su muerte, la Muerte
muere
Con el vegetal alimentado
por su detestable negocio
con las risas y los gritos
que crecen en todas sus fosas
Uno vive su vida, se vive
Se vive
Magnífica, estremecedora...
ResponderEliminarGracias.