Mostrando entradas con la etiqueta Patricia Kaas. Mostrar todas las entradas
Mostrando entradas con la etiqueta Patricia Kaas. Mostrar todas las entradas

PATRICIA KAAS
Syracuse (versión)

[Ir a la interpretación de Yves Montand >>>]
[Ir a la interpretación de Henri Salvador >>>]


SIRACUSA
Letra: Bernard Dimey - Música: Henri Salvador

J'aimerais tant voir Syracuse
L'île de Pâques et Kairouan
Et les grands oiseaux qui s'amusent
A glisser l'aile sous le vent.

Voir les jardins de Babylone
Et le palais du grand Lama
Rêver des amants de Vérone
Au sommet du Fuji-Yama.

Voir le pays du matin calme
Aller pêcher au Cormoran
Et m'enivrer de vin de palme
En écoutant chanter le vent.

Avant que ma jeunesse s'use
Et que mes printemps soient partis
J'aimerais tant voir Syracuse
Pour m'en souvenir à Paris.

Me gustaría tanto ver Siracusa
la isla de Pascua y Kairuán
y los grandes pájaros que se divierten
deslizando al ala bajo el viento.

Ver los jardines de Babilonia
y el palacio del gran Lama
soñar con los amantes de Verona
en la cumbre del Fuji Yama.

Ver el país de las mañanas tranquilas
ir a pescar al Cormorán
y embriagarme de vino de palma
escuchando el canto del viento.

Antes de que mi juventud se acabe
y que mis primaveras se hayan ido
me gustaría tanto ver Siracusa
para acordarme de ella en París.

PATRICIA KAAS & PASCAL OBISPO
L’aigle noir (versión)

[Ir a la interpretación de Barbara >>>]


EL ÁGUILA NEGRA
Letra y música: Barbara

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
près d'un lac je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.
Lentement, les ailes déployées,
lentement, je le vis tournoyer
Près de moi, dans un bruissement d'ailes
Comme tombé du ciel, l'oiseau vint se poser.

Il avait les yeux couleur rubis
et des plumes couleur de la nuit
A son front brillant de mille feux
L'oiseau roi couronné
portait un diamant bleu.
De son bec il a touché ma joue,
dans ma main il a glissé son cou
C'est alors que je l'ai reconnu,
surgissant du passé, il m'était revenu.

Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant, des étoiles, des étoiles.
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Comme avant, sur un nuage blanc
Comme avant, allumer le soleil
Être faiseur de pluie et faire des merveilles.

L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
prit son vol pour regagner le ciel.

Quatre plumes couleur de la nuit,
une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée seule avec mon chagrin.

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
près d'un lac, je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.
Un beau jour, ou était-ce une nuit,
près d'un lac, je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.

Un beau jour, une nuit,
près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
il venait de nulle part,
il surgit, l'aigle noir

Un hermoso día, o tal vez una noche
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.
Lentamente, con las alas desplegadas,
Lentamente la vi arremolinarse
Cenca de mí, con un murmullo de alas
Como caído del cielo, el pájaro se posó.

Tenía los ojos de color rubí
Y las plumas del color de la noche
En su frente, brillando como mil fuegos
El pájaro, rey coronado,
Llevaba un diamante azul.
Con su pico tocó mi mejilla
En mi mano deslizó su cuello
Fue entonces cuando lo reconocí:
Surgiendo del pasado, había vuelto a mí.

Dime pájaro, oh, dime, llévame contigo
Regresemos al país de otros tiempos
Como antes, en mis sueños de niña
Para coger, temblando, estrellas, estrellas.
Como antes, en mis sueños de niña
Como antes, en una nube blanca
Como antes, encender el sol
Ser hacedor de lluvia y hacer maravillas

El águila negra, con un murmullo de alas,
Levantó el vuelo para alcanzar el cielo.

Cuatro plumas del color de la noche
Una lágrima o quizás un rubí
Tenía frío, no me quedaba nada
El pájaro me dejó sola con mi tristeza.

Un hermoso día, o tal vez una noche
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.
Un hermoso día, ¿o era de noche?
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.

Un hermoso día
Cerca de un lago, dormida
Cuando de pronto
Venía de ninguna parte
Surgió el águila negra

Patricia Kaas, Garou, Tina Arena & Marc Lavoine
Je ne regrette rien (versión)

[Ir a la interpretación de Edith Piaf >>>]


NO ME ARREPIENTO DE NADA
Letra: Michel Vaucaire - Música: Charles Dumont

Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait, ni le mal
Tout ça m'est bien égal
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé
Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux
Balayés mes amours
Avec leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait, ni le mal
Tout ça m'est bien égal
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Car ma vie
Car mes joies
Aujourd'hui
Ça commence avec toi...

No, nada de nada
No, no me arrepiento de nada
Ni el bien que me han hecho, ni el mal
Todo me da igual
No, nada de nada
No, no me arrepiento de nada
Está pagado, barrido, olvidado
No me importa el pasado
Con mis recuerdos
He prendido el fuego
Mis penas, mis placeres
Ya no los necesito
He barrido mis amores
Con sus temblores
Barridos para siempre
Empiezo de cero
No, nada de nada
No, no me arrepiento de nada
Ni el bien que me han hecho, ni el mal
Todo me da igual
No, nada de nada
No, no me arrepiento de nada
Pues mi vida
Pues mis alegrías
Hoy
Empiezan contigo…

PATRICIA KAAS
Quand on n’a que l’amour (versión)

[Ir a la interpretación de Jacques Brel >>>]


CUANDO NO HAY MÁS QUE AMOR
Letra y música: Jacques Brel

Quand on n'a que l'amour
A s'offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on n'a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on n'a que l'amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d'y croire toujours
Quand on n'a que l'amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on n'a que l'amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours

Quand on n'a que l'amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on n'a que l'amour
A offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour
Quand on n'a que l'amour
A offrir à ceux-là
Dont l'unique combat
Est de chercher le jour
Quand on n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
A chaque carrefour
Quand on n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour

Alors sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains
Amis le monde entier.

Cuando no hay más que amor
Como regalo que compartir
El día del gran viaje
Que es nuestro gran amor
Cuando no hay más que amor
Mi amor tú y yo
Para que estallen de alegría
Cada hora y cada día
Cuando no hay más que amor
Para vivir nuestras promesas
Sin ninguna otra riqueza
Que el creer siempre en ellas
Cuando no hay más que amor
Para amueblar de maravillas
Y cubrir de sol
La fealdad de los suburbios
Cuando no hay más que amor
Como única razón
Como única canción
Y único auxilio

Cuando no hay más que amor
Para vestir por la mañana
A pobres y malandrines
Con abrigos de terciopelo
Cuando no hay más que amor
Para ofrecer como plegaria
Por los males de la tierra
Como simple trovador
Cuando no hay más que amor
Para ofrecer a aquellos
Cuyo único combate
Es buscar la luz
Cuando no hay más que amor
Pata trazar un camino
Y forzar el destino
A cada encrucijada
Cuando no hay más que amor
Para hablar a los cañones
Y tan solo una canción
Para convencer a un tambor

Entonces, sin tener nada más
Que la fuerza de amar
Tendremos en nuestras manos
Amigos, el mundo entero

PATRICIA KAAS
L’aigle noir (versión)

[Ir a la interpretación de Barbara >>>]


EL ÁGUILA NEGRA
Letra y música: Barbara

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
près d'un lac je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.
Lentement, les ailes déployées,
lentement, je le vis tournoyer
Près de moi, dans un bruissement d'ailes
Comme tombé du ciel, l'oiseau vint se poser.

Il avait les yeux couleur rubis
et des plumes couleur de la nuit
A son front brillant de mille feux
L'oiseau roi couronné
portait un diamant bleu.
De son bec il a touché ma joue,
dans ma main il a glissé son cou
C'est alors que je l'ai reconnu,
surgissant du passé, il m'était revenu.

Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant, des étoiles, des étoiles.
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Comme avant, sur un nuage blanc
Comme avant, allumer le soleil
Être faiseur de pluie et faire des merveilles.

L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
prit son vol pour regagner le ciel.

Quatre plumes couleur de la nuit,
une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée seule avec mon chagrin.

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
près d'un lac, je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.
Un beau jour, ou était-ce une nuit,
près d'un lac, je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part, surgit un aigle noir.

Un beau jour, une nuit,
près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
il venait de nulle part,
il surgit, l'aigle noir

Un hermoso día, o tal vez una noche
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.
Lentamente, con las alas desplegadas,
Lentamente la vi arremolinarse
Cenca de mí, con un murmullo de alas
Como caído del cielo, el pájaro se posó.

Tenía los ojos de color rubí
Y las plumas del color de la noche
En su frente, brillando como mil fuegos
El pájaro, rey coronado,
Llevaba un diamante azul.
Con su pico tocó mi mejilla
En mi mano deslizó su cuello
Fue entonces cuando lo reconocí:
Surgiendo del pasado, había vuelto a mí.

Dime pájaro, oh, dime, llévame contigo
Regresemos al país de otros tiempos
Como antes, en mis sueños de niña
Para coger, temblando, estrellas, estrellas.
Como antes, en mis sueños de niña
Como antes, en una nube blanca
Como antes, encender el sol
Ser hacedor de lluvia y hacer maravillas

El águila negra, con un murmullo de alas,
Levantó el vuelo para alcanzar el cielo.

Cuatro plumas del color de la noche
Una lágrima o quizás un rubí
Tenía frío, no me quedaba nada
El pájaro me dejó sola con mi tristeza.

Un hermoso día, o tal vez una noche
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.
Un hermoso día, ¿o era de noche?
Cerca de un lago me había quedado dormida
Cuando de pronto, como reventando el cielo
Viniendo de ninguna parte, surgió un águila negra.

Un hermoso día
Cerca de un lago, dormida
Cuando de pronto
Venía de ninguna parte
Surgió el águila negra

VISITAS